Chaque fois que tu regardes un problème, tu vois un échec brandi les mains nues au lieu d’une solution straight. Pourquoi parce que tu nages trop souvent à contre-courant dans tes désirs. Tes émotions défilent en slow motion. Un matin tu te lèves. Après tes exercices tu aurais envie de faire de la peinture au lieu de cuisiner des cannellonis tel que promis à ton bien-aimé excepté que t’as pas les pinceaux faute de quincaillerie à proximité de ton temps. Résultat au bout de ta journée, t’as rien cuisiné, rien peinturé, rien que resté à l’intérieur de toi-même sans questionnement ni discussion, à véhiculer des informations révélées par le vide. T’as pris un couloir pour nulle part: vas-tu compter ce temps comme un avancement dans ton projet? Nao. Tu files cheap, sentiment négatif à toi-même (comme pour les sept huitièmes des humains), pis tu te désoles d’être revenu sur la terre un 11 janvier sans contrat ni maquette.